Règle #1
Un pote arrive quand tu as besoin de lui, pas quand il a le temps.
Les 100 règles officielles du Code des Potes. À respecter, adapter, ou débattre jusqu’à 3h du matin.
Un pote arrive quand tu as besoin de lui, pas quand il a le temps.
Si ton pote est en galère, tu demandes d’abord « t’es où ? » avant « qu’est-ce qui s’est passé ? ».
Un pote ne juge pas ton passé, mais il peut se moquer du présent.
Si ton pote te dit « je suis presque là », tu sais qu’il vient seulement de partir.
On ne laisse jamais un pote envoyer un message impulsif.
Le dernier chip appartient à celui qui a ouvert le paquet.
Quand un pote te montre une vidéo, tu regardes. Même si elle dure 12 minutes.
Un pote ne balance jamais un secret, même quand c’est tentant.
Le « j’arrive » d’un pote est une unité de mesure émotionnelle, pas temporelle.
On ne laisse pas un pote fêter seul une bonne nouvelle.
Si ton pote ne répond pas, tu supposes qu’il dort, pas qu’il t’ignore.
Tu défends ton pote même si c’est lui qui a tort. Tu clarifies après.
On ne laisse jamais un pote traverser une rue en parlant à son ex.
Un pote ne part jamais avant de s’assurer que tout le monde a un moyen de rentrer.
Celui qui choisit le resto accepte les critiques.
Un pote ne te demande pas pourquoi t’es bizarre, il te demande ce qu’il peut faire.
Quand ton pote est triste, tu l’écoutes. Même si t’as rien d’intelligent à dire.
On ne pique pas une vanne qu’un pote a inventée.
Quand ton pote se lance dans un projet, même nul, tu le hype.
Un pote se réjouit sincèrement pour toi, toujours.
On ne laisse pas un pote boire seul.
Un pote te dit la vérité, mais en version supportable.
Tu dois toujours prévenir si tu arrives avec du monde.
On ne filme pas un pote dans un moment vraiment dur.
Celui qui est le plus sobre garde les clés.
Si ton pote a honte de quelque chose, c’est automatiquement « jamais arrivé ».
Un pote ne te laisse pas appeler ton ex.
On vérifie toujours que chacun est bien rentré.
Tu envoies un message quand tu arrives chez toi, même à 4h30 du mat.
Le pote qui conduit choisit la musique.
On ne fait jamais passer un date avant un pote en détresse.
Tu respectes le silence d’un pote qui va mal. C’est sa façon de respirer.
Un pote ne vanne jamais un complexe que tu ne peux pas résoudre en rigolant.
Quand un pote t’appelle tard, tu décroches.
Si ton pote te dit « j’ai une bonne et une mauvaise nouvelle », tu écoutes la mauvaise en premier.
Un pote n’est jamais trop occupé pour un audio de 30 secondes.
On ne laisse pas un pote mentir pour nous s’il peut se mettre dans la merde.
Tu félicites toujours un pote qui ose quitter un environnement toxique.
Si un pote cuisine pour toi, tu manges, même si c’est un désastre.
Tu gardes les confidences « émotionnelles » en mode coffre-fort.
On ne reproche pas à un pote d’avoir changé.
Un pote a le droit de disparaître un moment. Tu ne le prends pas personnel.
La première personne que tu appelles en cas de merde = le vrai pote.
Si un pote a honte, tu en as honte avec lui.
Tu ne minimises jamais la souffrance d’un pote.
On respecte les limites : « j’ai pas envie d’en parler », c’est une phrase complète.
Un pote n’a pas besoin d’expliquer pourquoi il va mal pour que tu sois là.
Tu ne racontes jamais les histoires de famille d’un pote.
La confiance est un cadeau, pas une obligation.
Un pote ne te compare jamais à qui que ce soit.
On célèbre les petites victoires.
Un pote ne met jamais en compétition deux potes entre eux.
Tu prends la défense d’un pote quand il n’est pas là.
Un pote n’expose pas un autre pote pour faire rire un groupe.
Tu ne forces jamais un pote à faire quelque chose qu’il sent pas.
La jalousie n’a pas sa place entre potes.
On ne minimise pas les rêves des autres.
Quand ton pote évolue, tu t’adaptes.
Un pote ne te ridiculise pas devant quelqu’un que tu aimes bien.
On ne ruine jamais la surprise préparée par un pote.
Tu respectes le « j’ai besoin d’être seul ».
Un pote ne critique pas ce qui te passionne.
Tu ne rappelles pas des erreurs que quelqu’un essaie d’oublier.
Quand tu promets de garder un secret, tu le gardes.
Un pote qui te connaît bien sait quand tu mens. S’il ne dit rien, c’est qu’il te protège.
Tu encourages un pote à être la meilleure version de lui-même, pas la tienne.
Tu ne fais pas culpabiliser un pote d’avoir besoin de temps pour lui.
Les discussions difficiles se font en privé.
Tu félicites un pote qui ose dire non.
Un pote n’est pas obligé de penser comme toi pour être ton pote.
Tu n’humilies jamais un pote.
On pardonne plus facilement aux potes qu’à soi-même.
Un pote te dit « je suis là » même quand il ne sait pas quoi dire.
Tu ne déclares pas la guerre à un pote pour une broutille.
La loyauté se voit quand personne ne regarde.
Si ton pote fait un effort, tu le reconnais.
Tu soutiens ton pote même quand sa décision ne te plaît pas.
Un pote ne te laisse jamais affronter quelque chose de difficile seul.
Tu acceptes la version de ton pote avant la tienne.
L’humour ne sert pas d’excuse pour tout.
On ne se venge pas entre potes.
Tu remercies un pote, même pour un truc simple.
Un pote ne te laisse pas t’enfoncer dans une relation toxique sans parler.
Tu respectes les choix, même quand tu ne comprends pas.
Un pote te dit quand tu déconnes.
On ne laisse jamais un pote se rabaisser.
Tu soutiens les rêves même improbables.
Un pote connaît tes démons, et ne s’en sert jamais contre toi.
Tu célèbres les anniversaires, même en retard.
On se dit quand on s’aime. Pas forcément avec les mots, mais avec les actes.
La confiance se construit, elle ne se demande pas.
Tu ne compares jamais les réussites. Tous les chemins sont différents.
Un pote te dit « rentre bien » même si tu habites à 200 mètres.
Tu ne laisses pas un pote payer seul quand il est en galère.
On ne juge pas les sentiments, seulement les actions.
Tu respectes les nouvelles priorités d’un pote.
Quand ça va bien, on profite. Quand ça va mal, on reste.
Un pote, un vrai, ne part pas dans les moments compliqués.
Le pardon est un acte de force, pas de faiblesse.
La règle ultime : on reste du même côté, quoi qu’il arrive.